Dans les deux dernières années, mes plages horaires d’écritures se sont élargies. Même s’il pouvait se passer des mois sans que je puisse écrire, lorsque l’occasion se présentait, j’avais 4, 5, 6 heures d’affilées pour me concentrer sur un projet. Le résultat? Avant de m’y mettre, je…
- – Regardais mes courriels
- – Lisais tout article reçu
- – Passais un moment sur Facebook
- – Puis, sur Twitter
- – Faisais le tour de mes blogues préférés sur mon fil RSS
- – Écrivais moi-même un billet
- – Me faisais un café
- – Retournais voir Facebook
- – Etc.
Bref, je procrastinais jusqu’à ce que ma plage horaire devienne assez serrée pour qu’un certain sentiment d’urgence me pousse à regarder enfin mon manuscrit.
Ces temps-ci, vie familiale oblige, c’est bien différent! Mes plages horaires vouées à l’écriture sont de moins d’une heure. Dès que je suis libre, top chrono, j’ouvre mon manuscrit. Si seulement je pouvais garder ce rythme une fois mon temps libre revenu! Ce que j’en ferais de grandes choses!
Je te le souhaite… mais en même temps je souligne l’ironie du fait que tu nous fais partager ça dans un billet… 😉
@Gen: Bien vu; bloguer sur le fait qu’on manque de temps est un paradoxe. Pour ma défense, j’ai écrit ce billet avant l’heure officielle du début de la journée.