Mon premier pilon

Pilonner : Détruire les exemplaires d’un ouvrage qui n’ont pas été vendus. Pilonner un livre.

Fait à partir de 2 illustrations openclipart.orgC’est un peu inévitable dans cette industrie, un peu comme le fameux « death and taxes » de Benjamin Franklin. Les deux véritables surprises sont surtout les suivantes :

  • Je m’en suis sorti pendant 10 ans avant mon premier pilon!
  • C’est l’Encyclopédie du merveilleux urbain qui y passe en premier!

merveilleux urbainJ’ai souvent considéré L’encyclopédie du merveilleux urbain comme mon concept le plus fort,  mon univers le plus intéressant. Peut-être n’avais-je pas choisi la bonne forme pour qu’il trouve son public. Chose certaine, après de bonnes commandes par les librairies, les retours ont été catastrophiques. On ne peut pas gagner à tous les coups!

Pour ceux qui désireraient mettre la main dessus avant qu’il ne disparaisse dans les profondeurs de la machine à recycler, vous êtes chanceux : il sera disponible pour au prix rabais de 5,99$ à partir de mardi, histoire de solder ce qui reste avant la destruction. J’ignore par contre s’il sera disponible en librairies ou dans les lieux de soldes comme Costco et Dollorama.

Pour ceux qui sont nouveaux sur ce blogue et qui se demandent de quoi je parle, je vous invite à le découvrir sur sa page dans ma section PUBLICATIONS.

Le pire, c’est que j’ai tous les textes d’une suite d’écrits depuis plus d’un an. Un « Bestiaire du merveilleux urbain », qui n’a pas trouvé preneur pour le moment. Pourtant, avec la sortie de Fantastic Beasts and Where to Find Them, il aurait été d’actualité!

Une fois que j’aurai récupéré les droits, je verrais ce que j’en fais. D’ici là, on tablette et on travaille sur autre chose. C’est un peu aussi ça, la vie d’auteur.

 

 

2 réflexions sur « Mon premier pilon »

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