L’été achève, et mes soirs d’heure de conte (4 finalement, j’ai remplacé le maire Ferrendez un des premiers soirs du mois de juillet!) se sont terminés la semaine dernière. Si les deux premières présentations sont un peu tombées à l’eau pour cause de pluie, les deux dernières se sont faites dans la bonne humeur et la chaleur intense.
Mon thème était : les trésors de la Courte Échelle, et la maison d’édition a bien voulu m’ouvrir les portes de leur salle de montre pour que je puisse y ramasser quelques livres. Ajoutez-y une visite à la bibliothèque du Plateau, dans laquelle j’ai trouvé quelques vieux trésors enfouis, et je me suis constitué une belle sélection.
Voici donc quelques petites choses que j’ai apprises lors de cette expérience!
- Faire la lecture à côté d’un piano public n’est pas toujours l’idéal!
- Les Jiji et Pichou n’ont pas pris une ride! Les enfants l’adorent encore, et il se trouvait toujours au moins un adulte pour accueillir l’héroïne avec un sourire nostalgique.
- Les Zuniks de leur côté, ont un peu moins bien vieilli. Leur thème révolutionnaire à l’époque (un père divorcé qui s’occupe de son enfant!!!) ne suffit plus à tenir le livre.
- Les Plaisirs de… de Roger Paré se trouvent quelque part entre les deux!
- Se promener dans un parc en criant pour annoncer le début de l’heure du conte demande un certain courage, mais ce n’est pas dangereux.
- La courte échelle a publié des romans jeunesse signés Stanley Péan et Chrystine Brouillet (image en haut, à droite)!
- Ils ont également traduit plusieurs Robert Munsch! Mon coup de cœur : Le bébé, ci-contre, qui m’a fait rire aux éclats, toute adulte que je suis!
- Les gros coussins bines sont plus sympathiques que les estrades.
- La limonade de la buvette, tenue par la maison de jeune du coin, est délicieuse… mais inégale!
- Le problème avec « La clé à molette » d’Élise Gravel, c’est qu’il se trouve toujours un enfant pour le connaître par cœur et en dévoiler le punch à l’avance!
- Lire un livre seule dans un parc sous un parapluie possède une certaine dose de charme.
- Les tout petits, auxquels je suis moins habituée que les plus grands, demandent un énergie pas possible… mais en redonnent énormément en retour.