(liens vers les autres billets de la série à la fin)
Selon les époques, j’ai utilisé trois différentes méthodes pour la correction d’orthographe.
Lorsque j’étais encore à l’école : un professeur de Cégep m’avait appris à réviser en commençant par la fin pour éviter que je lise mon texte plutôt que de le corriger. C’est la technique que je recommande lorsque je suis dans des écoles… mais entre vous et moi, ce n’est plus celle que j’utilise.
Au début de ma carrière : Puisque nous sommes en mode « confession », je vous avoue que, mes premiers manuscrits, je les ai fait réviser par ma mère! Elle était bien meilleure que moi en orthographe et j’étais nerveuse que la moindre faute empêcherait les éditeurs de voir le potentiel de mon histoire.
Et maintenant : Je passe le correcteur Antidote sur mon texte. J’en profite pour faire une révision des répétitions, aussi. Parfois même des phrases trop longues, surtout si je travaille un manuscrit pour les moins de 10 ans.
Voici ce qu’Antidote avait à dire de mon manuscrit cette fois-ci :
C’est un peu pénible, mais je m’en sors habituellement en un jour ou deux. Une fois que c’est terminé, je change le nom de mon fichier, de V.0 à V.1 et je m’attaque à l’étape suivante, celle redoutée…
… de la recherche d’un éditeur.
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