Il y a longtemps que je m’intéresse aux différentes stratégies pour rendre les romans intermédiaires intéressants pour les lecteurs qui hésitent à passer de l’album au roman. J’en ai déjà parlé dans les billets suivants, datant respectivement de 2010 et 2014 :
Dans le gardien des soirs de bridge, les mots inventés et noms de personnages étaient écrits dans une autre typographie lors de leur première apparition, pour faciliter leur repérage. Mon éditeur de chez Bayard a poussé plus loin l’idée d’utiliser les jeux de typos pour aider la compréhension, en offrant son propre lettrage à chaque nom propre tout au long du roman.
Ça donne ceci :
Une fois parti, il s’est également amusé à y ajouter quelques effets en lien avec le texte…
Je dois vous l’avouer, je suis hyper satisfaite du résultat! Reste à voir ce qu’en pensera le public… ce que l’on saura bientôt, puisqu’il sort cette semaine!
C’est effectivement intéressant pour les jeunes qui commencent à lire!