Il y a quelques semaines, j’écrivais un billet sur le fait que je lisais toujours un roman jusqu’à la fin, aussi pénible soit-il. Durant la rédaction de l’article, j’ai essayé de trouver un exemple de livre dont la fin sauvait le reste; un livre que j’aurais pu abandonner cent fois, mais dont l’espoir d’une fin extraordinaire a été récompensé.
J’y ai repensé hier! Il y en a un : « Until I find you » de John Irving.
Une bonne moitié des pages de cette brique sont complètement inutiles et ennuyantes, mais la fin, elle, est délicieuse dans son revirement complet de situation. Elle justifie à elle-même tout le reste du livre, égalée uniquement par la fin de « Life of pi ».
Malheureusement, il s’agit de l’exception plutôt que de la règle!